Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute…(10)

Le matin, nous annonçons à l’équipe que nous partons en Russie le jeudi matin pour quatre jours. Le retour d’Anne chez elle se pose. Odile lui propose de venir à Montrouge pendant ces soirées si elle a la possibilité de faire garder sa fille. Elles pourront partir et rentrer ensemble.

Dans la journée, je parle discrètement à Odile pour lui donner quelques directives sur ces soirées ensemble. Anne réfléchie et accepte, entre sa sœur et ses parents, ils pourront s’organiser.
Les jours qui nous séparent de notre départ passent rapidement.
Le mercredi matin, nous déposons Anne au travail. Nous entrons quelques minutes et je m’isole quelque temps avec mon petit amour, nous échangeons quelques larmes et quelques baisés.
Je la rassure sur les soirées chez nos amis, tu es en de bonne-main, je suis sûr que tu en retireras plein d’expérience.

Nous repartons, nous montons chez Véronique qui nous ouvre nue. Elles gardent les bonnes habitudes.

• Tiens prend ce cadeau avant ton départ.
• Merci mon cœur, je l’ouvrirai dans l’avion.

Il faut que nous partions.
Nous l’embrassons et lui disons à bientôt. Les amies embrassées, nous reprenons notre route vers Roissy.

Arrivé dans l’aéroport, l’homme casqué nous apporte l’enveloppe nécessaire à notre voyage. Il s’éclipse. Passeport, billets et instruction pour Moscou.
Deux belles femelles comme nous, juchées sur nos talons hauts, avec nos minijupes et nos chemisiers grands standings magnifiquement remplis, le tout agrémenté d’une petite veste de style font se retourner une fois de plus la gent masculine.
L’embarquement se passe sans problème.
Dans l’avion, nous ouvrons l’enveloppe. Virginie, non, Valérie et moi Magali à partir de maintenant connaît ce qu’elle contient.
L’hôtel, la soirée, Igor l’a fait venir plusieurs fois fière qu’il est de s’afficher avec une femme française aussi jolie.
Elle ignore ce qu’il fait exactement, mais elle pense qu’à la suite de conversation, avec certains de ses invités, il travaille dans le gaz russe.


Elle a des doutes qu’il soit un peu mafieux, sans la preuve. Chaque fois il a payé ses prestations et celles de ses amis s'en posé de questions.
Elle vient toujours le rencontrer avec une autre escorte française.
Lors de son dernier voyage, elle lui a parlé de sa nouvelle amie qui allait, elle l’espérait entrer dans l’organisation. Il a vivement souhaité te rencontrer.
Ce rappelant le cadeau de Véronique. J’ouvre la boîte et découvre un magnifique collier en cuir rouge avec une dizaine de rubis rouge, sans oublier un anneau d’or.
Un petit mot est placé dans la boîte.

• La laisse en cuir rouge t’attend à la maison. Bon voyage. Véronique !

Virginie, qui a lu le bristol, demande ce qu’est cette laisse rouge.
Je lui rappelle, le cadeau que j’ai fait le dimanche à ma grande, le passage chez le maroquinier et la soirée. Je n’oublie surtout pas de lui raconter la scène nue, la porte ouverte et Pierre nous voyant dans un tableau qui a pu lui paraître irréaliste.
Sa première EXE tenant en laisse sa nouvelle EXE. Elle éclate de rire.

• Bien ma salope, je vois qu’il reste peut de chose à t’apprendre, tu es devenu une très belle garce que j’aime. Je pense qu’à Moscou, nous allons dépasser le peu d’inhibitions qu’il te reste.

Elle me prend le collier et me le place autour du cou. Tu vas faire fureur demain avec ce collier auprès d’Igor.
Nous débarquons à Moscou très tard et nous nous rendons directement au Moscou Monarch central Hôtel à deux pas du kremlin où deux chambres contiguës nous sont réservées.
Les chambres sont somptueuses, les salles de bains exceptionnelles.
À notre habitude, sitôt arrivée, sitôt nue.
Une baignoire nous suffit ainsi qu’un seul lit. Deux minutes allongées et nous plongeons dans un sommeil sans rêve.
À dix heures, quelqu’un frappe à la porte, Valérie va, ouvrir nue. Une soubrette nous apporte le petit déjeuner. Elle l’avait commandé lors de notre arrivée.
Nous nous bichonnons et nous sortons visiter cette ville magnifique.

Kremlin, place rouge, tombeau de Lénine et la cathédrale Basile-la-Bienheureux, nous les visitons au pas de charge.
Le midi, nous mangeons dans un restaurant typique russe, où les noms très compliqués sont restés à la porte de mon esprit.
Nous faisons quelques achats surtout des vêtements et des petits cadeaux typiques pour nos nombreux amis.
Pour la soirée, nous parlerons anglais. Igor le parle parfaitement, quant à moi, j’ai la chance d’être parfaitement bilingue mon papa français à épouser ma maman anglaise à Londres lorsqu’ils faisaient leurs études.
Comme beaucoup d’s dans cette situation, nous parlions français les jours pairs anglais les impaires.
Pour son travail, ils sont venus s’installer à Paris où mon papa a trouvé un emploi vers la défense. Ce mélange français anglais explique certainement l’éducation très rigoriste que j’ai reçue.

• À tout moment il faut éviter de parler français. Comment savoir si les personnes présentes comprennent notre langue et pourraient être choquées de nos propos ?

Vers dix-sept heures, nous rejoignons l’hôtel afin de nous remettre en forme.
Je passe mes vêtements affriolants et pour simple bijou, je mets le collier de Véronique.

À vingt heures, nous descendons au restaurant où Igor nous attend.
Virginie se dirige vers trois hommes installés à une table. Il s’avance vers nous, l’un d’eux vient directement vers elle. Il lui baise la main. Puis la mienne, en, se présentant.

• Je suis Igor ici pour vous servir.

La description qu’elle m’en a fait correspond au personnage. Grand mince en costume prince de galles certainement taillé sur mesure à Londres.
Il nous présente ses deux amis, Dimitri et Andrei. Ces deux hommes sont bien mis, mais n’ont pas la classe d’Igor.

Nous nous installons. Igor avec célérité me prend le bras et m’installe à une place et s’installe près de moi.
Valérie s’installe à l’opposé encadré de chacun de ces messieurs. Le repas nous est servi, impeccablement.
Je fais attention à manger légèrement et surtout à boire que de l’eau. La table ronde, où nous sommes installés, rend difficiles les jeux de pied. Malgré ce handicap, Igor, arrive à venir toucher ma jambe.
De l’autre côté de la table, Valérie a l’air de s’accommoder de s’occuper de deux hommes. Elle parle indifféremment à l’un et à l’autre. Elle rit avec l’un ou avec l’autre. Sans en avoir l’air, elle prend indifféremment la main de l’un ou de l’autre, suivant les sujets qu’ils abordent.
De notre côté, Igor qui m’a choisi, souhaite m’accaparer. Il s’adresse à moi, parle qu’avec moi. Il me prend fréquemment la main pour y porter ses lèvres tout en me faisant des compliments sur ma beauté.
Il loue Valérie lorsqu’elle lui a parlé de moi lors de son dernier voyage. Il m’avoue même, qu’elle a été au-dessous de la vérité quand-il, m’a vue.
Le repas terminé, il nous propose de visiter Moscou de nuit.
Nous récupérons nos vestes, il nous emmène vers l’extérieur. Sa voiture est déjà avancée, j’avais vu ce type de voiture à la télévision, mais c’est la première fois que je monte à l’intérieur.
Dimitri aide Valérie à monter et à s’installer sur le siège placé dos au chauffeur qui est isolé, une vitre teintée nous sépare. Dimitri et Andrei montent et s’assoient à ses côtés. Igor m’aide à monter et m’installe face à nos amis. Il prend place à mes côtés.

Je le vois appuyer sur un bouton et la voiture démarre. Le silence de cette limousine est impressionnant. Très lentement, nous passons devant tous les monuments qu’il faut voir dans cette ville. Je retrouve certains monuments visités dans la journée. Pendant toute cette promenade, Igor a juste posé sa main sur ma cuisse, mais s’arrête là.
De leur côté, voulant imiter leur patron chacun des hommes a posé une main sur chacune des cuisses de Valérie.

À un moment la voiture s’arrête, les hommes nous aident à descendre et nous entrons dans un établissement à la lumière tamisée où nous prenons des rafraîchissements.

À Moscou en juin l’été n’a rien à envier à notre capitale, la chaleur en plus. Je ne peux rien dire à Valérie, mais je trouve que ses hommes, qui nous payent pour la soirée et surtout la nuit, doivent avoir un sentiment de culpabilité de nous emmener dans leurs lits et systématiquement retardent le moment d’aller baiser.
Igor me fait sentir qu’il a envie de moi.

• Allons-y !

Nous retrouvons la voiture et notre place.
Immédiatement installé, Dimitri se rapproche de Valérie et l’embrasse.
Andrei veut éviter d’être en reste, il lui fait tourner la tête et lui prend la bouche goulûment.
La vue de mon amie, avec deux hommes, me, montre le chemin qu’il me reste à parcourir pour devenir la même salope. Je vais tout faire pour y arriver. Depuis que je me suis émancipé, j’ai déjà bien progressé, mais vous allez voir de quoi, je suis capable !

Igor a l’air d’apprécier les initiatives de ses comparses, mais je suis là et je veux qu’il s’occupe de moi. Prenant l’initiative je m’agenouille, ouvre la ceinture et sors sa queue. Elle est déjà au maximum de son développement.
Je l’embouche et commence à la sucer et la lécher. J’accélère le mouvement avant de mieux ralentir afin qu’il garde son sperme.
Comment résiste mon client, combien de fois est-il capable de récidiver l’acte sexuel au fil de la nuit.
Il a pris ma tête entre ses mains, et la guide le long de sa tige.
Que fait Valérie avec ses deux étalons ?
Le bruit me fait penser que ses mâles ne doivent pas s’ennuyer.

La voiture s’arrête, nous reprenons une position plus décente. En me retournant j’ai le temps d’apercevoir les fesses nues de mon ami. Elle tire sur sa mini pour la repositionner sur ses rondeurs en se rasseyant.
Le portier ouvre la porte de la voiture, nous descendons et rejoignons les ascenseurs pour monter dans nos chambres. Igor est littéralement accroché à moi, ses mains sont déjà partout sur le corps.

Arrivé devant ma porte, Virginie me souhaite bonne nuit et disparaît dans la sienne suivie par ses deux toutous.
Nous entrons, Igor part dans la salle de bain se rafraîchir.
Je vais vers la table de nuit poser ma pochette.
Une enveloppe est posée là.
Elle a été mise après que nous fûmes partis. Six billets de cinq cents euros s'y trouvent. Trois mille euros, il va falloir que je récompense Igor pour m’aider à faire gonfler mon compte en banque.
Je la mets discrètement dans ma valise.
Ça y est, je suis payé, je peux devenir sa pute.
Je me dirige vers la salle de bain. Igor a ouvert les robinets de la baignoire pour que nous nous rafraîchissions. Je viens vers lui et je l’embrasse pour la première fois. Sur une échelle de dix, ils atteindraient presque le sommet.
Il me déshabille, titillant avec sa langue, mes seins.

• Ils sont magnifiques !

J’en fais de même et rapidement nous nous retrouvons nue tous les deux.

• Comme ton amie Valérie, tu évites les culottes.
• Oui, elle m'a initié à cette pratique et de sentir l’air passer entre mes cuisses me permet d’être toujours fraîche pour me faire baiser.

Il veut m’enlever mon collier. Je l’arrête.

• Non, une seule personne a le droit de le défaire et pas vous.

Il a du respect et me la laisse.
Nous entrons dans la baignoire et nous nous savonnons. Il continue à me dire que je suis magnifique, que je suis même la femme la plus belle qu’il ait eue dans ses bras.
Attention à ce qu’il évite de tomber amoureux, seul l’argent doit m’intéresser.

Nous nous essuyons et il m’entraîne vers la chambre. Il me jette sur le lit et plonge sur ma fourche investie avec sa bouche. Il sait très bien embrasser, mais il sait aussi très bien lécher.
Une minute a enflammé ma chatte, mon clitoris sort du bois et demande son dû.
Je me tortille dans tous les sens ce qui augmente les mouvements de ses lèvres. Il se redresse et me fait comprendre la velléité qu’il a de me plonger sa verge.
Il se calme et me fait mettre sur le côté lui derrière moi, je lève une jambe et il plonge son sexe dans le mien. Rapidement j’atteins l’extase, quel amant.
La jambe en l’air commence à fatiguer, je la fais retomber sur l’autre. La sensation de sentir ce dard glisser et dans mon sexe et entre mes cuisses m’amène un nouveau plaisir. Je jouis.
Igor se retire et me place en levrette. S'il a failli éjaculer dès le début de notre coït, il s’est repris magnifiquement.
Une pensée me vient, dans la même situation, mon pauvre Pierre aurait déjà depuis longtemps baissé pavillon.

Ça y est, il m’a pénétré, son long sexe entre et sort de ma vulve. Il la sort carrément, pour mieux me la remettre.
J’ai envie de crier, mais deux secondes après il la remet au fond de mon fourreau, ce qui me fait défaillir rapidement.
Je sens que derrière moi les choses s’accélèrent. Je sens sa sève bouillonner dans ses testicules. Pourquoi gâcher ce bon jus.

• Donnez-moi tout dans ma bouche !

Il s’exécute, sort de ma vulve, ce qui me fait pousser un petit couinement de dépit, mais je me retourne, l’embouche juste au moment où son jus gicle.
Un, deux, trois gros traits de sperme emplissent ma bouche. En bonne cochonne que je suis devenu, j’avale la totalité.

Repu, mais fatigué, je m’allonge, Igor se couche à mes côtés et me suce les seins. Il est insatiable cet homme-là, il a l’air d’être prêt à recommencer, il va me .
Sa main se pose sur le sexe.

• J’adore que ta chatte soit glabre !

Un puits deux doigts viennent pénétrer ma fente. Une idée me vient.
Et si l'on essayait !
Je lui prends la main, approche un, deux puits trois de ses doigts. Je les fais pénétrer en moi. Lorsque ma chatte est bien mouillée et commence à s’élargir, je réunis ses cinq doigts et les remets dans ma grotte.
Je sens qu’il se pose des questions sur mes intentions. Je lui prends, le poignet fais avancer les doigts. Mes parois s’écartent encore. Il atteint le point crucial, l’endroit le plus large de sa main.

Ça résiste, je dois continuer, je pousse, ça pénètre, c’est passé. Je crie d’un coup la jouissance que cette main entièrement fichée dans le corps me procure.
Ses yeux sont exorbités. Pour finir, en beauté comme ma puce me l'a appris, je lui donne l’ordre d’ouvrir sa main. Il hésite mais voyant ma détermination, il s’exécute.
Mon Dieu, mon ventre est rempli. Un blanc, je tourne de l’œil, ou suis-je.

Une sensation de mouiller sur ma figure me fait revenir à moi. Igor est à genoux sur le lit près de moi et me passe une patte mouillée sur le front.

• Que m’est-il arrivé ?
• Tu es exceptionnelle, ta jouissance a été si forte quand j’ai ouvert ma main comme tu me l'as demandée, que tu t’es évanoui. J’ai retiré ma main, et suis allé chercher de l’eau fraîche pour te ranimer.

Je lève le buste pour voir mon sexe. Je suis déçu, j’ai loupé le bruit que j’aime temps lorsqu’il est sorti. Bof ! On remettra cela une autrefois.

Nous nous couchons afin de dormir et reprendre des forces. Avant de sombrer, je pense à Valérie qui doit s’en donner à cœur joie avec ses deux lascars.

Dans la nuit, je sens une barre se frotter sur mes fesses. Igor est de nouveau en plein formé, pour me le confirmer, je passe ma main. Je lève un peu la jambe pour qu’il me pénètre.
Je sens son gland cette position sur mon anus et commencer à vouloir entrer.
Je me lève d’un bon et allume.

• Igor, que fais-tu ?
• J’avais envie de te sodomiser, pourquoi ?
• Sûrement pas, jamais un homme entrera là.

Incrédule, il me regarde.

• Magali, un maximum de femmes se fait, sodomiser. En général, elles aiment ça, autant que nous les hommes aimons vous la mettre !
• Vous avez beau essayer de me convaincre, je suis prête à accepter beaucoup de choses avec ma chatte. Mais mon cul, NON !
• Cinq mille euros de plus pour te prendre ta rondelle ?
• Non, tu peux me bourrer le sexe autant que tu veux, mon anus, je t’ai dit : Jamais !

Je me recouche, dos opposé au sexe d’Igor. Bonne âme, je lui branle la queue, me penche et l’embouche. Je redouble d’ardeur afin de lui faire oublier ce qu’il n’a pas eu. Il lâche son foutre, je l’avale, c’est très bon. Nous dormons.

Une caresse sur mon visage me fait émerger, j’ouvre les yeux, Valérie est près de moi nue comme à son habitude.

• Tout s’est bien passé avec Igor.

Dans les détails, je lui raconte tout ce qu’il m’a fait depuis le moment où nous sommes entrées dans la chambre. Je lui parle de l’étonnement qu’il a eu au moment où il m’a mis sa main au fond de moi et que je me suis évanouie.
J’en arrive au moment fatidique dans le noir où j’ai senti qu’il rebandait et qu’il est venu se coller à mes fesses. Comme nous l’avions fait dans la soirée, j’ai levé ma jambe pour qu’il pénètre mon abricot.

• Tu sais ce qu’il a voulu me faire.
Il a voulu entrer dans mon anus. Je me suis révolté, il m’a proposé cinq mille euros de plus pour me la mettre. Tu comprends que j’ai refusé.
Même à ce prix-là, pas question que l’on entre dans mon petit trou, c’est immoral.

Elle me prend dans ses bras avec un large sourire.

• Tu as refusé à Igor une sodomie pour cinq mille euros, tu es extraordinaire. Je vais t’expliquer, lorsque deux hommes sont amoureux, ils se font des caresses avec les mains, des pipes avec leurs bouches, mais la plupart pratiquent la sodomie entre eux.
Ils se pénètrent par l’anus avec leur bite et en tirent beaucoup de plaisirs.
Avec une femme, c’est pareil, l’homme te pénètre avec sa verge, cela te procure quand tu as l’habitude un plaisir différent, que dans ton sexe mais que je trouve très plaisant.
Prends mon cas, j’ai passé la nuit avec Dimitri et Andrei.
Chacun leur tour, je les ai bien sucés. Ils m’ont baisé l’un après l’autre. Dimitri m'a pris en levrette à monter son gland à hauteur de l’anus et ma pénétrée, il m'a sodomisé ce qui m’a donné beaucoup de plaisir.
Pendant qu’il m’enfilait, Andrei me mettait, son vit dans la bouche. Les deux ont éjaculé en même temps, dans la bouche et dans mon rectum.
Après un grand moment de récupération, je les ai sucés de nouveau afin qu’ils reprennent vie.
Dimitri est resté allonger la queue en l’air, je me suis empalée la chatte sur son sexe. Cette position me permettait d’avoir mon anus a porté d’Andrei. Il est venu derrière moi et a enfoncé sa tige dans ma petite grotte. J’étais prise par deux bittes en même temps, ça a été divin.
La paroi qui sépare mon sexe et mon anus et qui s’appelle le périnée est si fin que je sentais les deux sexes se toucher.
Chaque fois que je me fais prendre en double pénétration, j’ai une jouissance prodigieuse, surtout quand je sens leurs spermes gicler dans mon ventre et mon anus.
• J’ignorais, si j’avais su, j’aurais accepté.
• C’est de ma faute, j’aurais dû sachant que tu étais vierge aux jeux de l’amour avant notre rencontre, t’initier à la pénétration anale avec mes godemichés à la maison.
• Oui, c’est dommage, moi qui aime tout apprendre avec toi !
• Attends, j’ai une idée, es-tu prête à essayer, ce soir avec Igor ?
• Bien sûr, il faut que tu ratts le coup sinon il me manquera cette pratique pour être la bonne petite pute que tu aimes que je sois.

Valérie prend le téléphone et compose un numéro. Ça décroche, elle met le haut-parleur, je reconnais la voix d’Igor.

• C’est moi Valérie, Igor, je peux te parler.
• Oui, je viens de me lever et je suis seule. Pourquoi m’appelles-tu ?
• Je suis avec Magali qui vient de me rapporter la nuit que vous avez passée. Je suis contente qu’elle ait contenté tes envies. Contente qu’elle t’ait permis de lui introduire ta main dans son chaton.
• C’était parfait, c’est la première fois que je pénétrais une femme de cette façon. Tu le sais depuis ma puberté précoce, j’en ai beaucoup vu !
• Bien mais si je t’appelle, je voulais te parler du refus, qu’elle t’a fait de la sodomiser même pour cinq mille euros.
Comme je te l’ai dit la dernière fois que je suis venue, Magali a été victime d’un mari complètement nul côté sexe.
Depuis qu’elle est avec moi, je lui ai appris beaucoup des pratiques entre les hommes et les femmes, mais j’ai négligé de lui faire connaître la pénétration anale. Tu comprends pourquoi elle a pris peur devant ton essai de la prendre sa petite rondelle.
• Oui bien sur, je comprends.
• Je lui ai expliqué les avantages et les plaisirs de se faire sodomiser. Ce soir elle est d’accord que tu lui enlèves ce pucelage.
• Remercie là de ma part.
• Oui, mais je te pose trois conditions. Ce soir tu viens seule à vingt-deux heures dans sa chambre. Nous retrouverons tes amis Dimitri et Igor demain soir tous les cinq pour l’apothéose de notre séjour comme tu sais jusqu’où je suis capable d’aller.
Deuxièmement, j’assisterais mon élève pendant toute la soirée moyennant la somme habituelle que je te prends lors de mes visites.
Troisièmement la rondelle d’une pucelle n’a pas de prix, cinq mille euros c’est trop peu, mais dix mille euros en espèces me paraît plus raisonnable. Es-tu d’accord ?

Un moment de silence ce fait sur la ligne et j’entends.

• Valérie vingt-deux heures dans sa suite !

Il raccroche. Je saute au cou de ma marraine.

• Tu es complètement déjanté, dix mille euros, comment pouvais-je croire que mon cul valait aussi cher.
Tu vas voir, je vais entretenir ce petit capital.
• Tu comprends mieux pourquoi j’ai pu me payer l’institue et le pavillon de Chennevières, sans compter mon compte en banque qui est chargé que si je voulais, je pourrais vivre de mes rentes jusqu’à la fin de ma vie. Sans te parler de ma propriété à Basse-Pointe en Martinique.

Nous nous baignons, habillons et maquillons avant de descendre manger dans un restaurant de très grands standings où je tiens à inviter ma marraine.
Pendant le déjeuner, elle souhaite me demander mon avis sur une idée qui lui tient à cœur. Elle vient d’acquérir l’appartement situé au-dessus de l’institut, elle souhaite développer dans cet espace un emplacement balnéothérapie, sauna et autres soins amincissants.
Pour que les clientes montent sans se fatiguer, elle a repéré l’emplacement ou elle pourra installer une cabine d’ascenseur.
De plus, comme nous sommes toutes les deux, nous absentons souvent, j’ai pensé que nous pourrions proposer à Véronique de travailler avec nous.
Dimanche lors de ta petite fête, j’ai constaté qu’elle était très bien acceptée par le groupe. De plus, avec le départ de ton ex, elle doit être sans ressources et il serait bête de lui laisser reprendre un travail d’hôtesse de l’air.

• Je suis cent pour cent d’accord avec toi. Je me fais fort dès notre retour de lui rapporter ta proposition et nul doute qu’elle l’acceptera, je me servirais de sa laisse, je suis sûr qu’elle acceptera.
Par compte comme tu la fais avec Igor, je mets une seule condition. L'achat que tu as fait de l’appartement et tous les travaux que tu vas entreprendre vont te coûter cher. Je souhaiterais que nous nous assotions et que je participe au capital de l’institut.
• Mon amour même si j’ai les reins assez solides pour assumer seule l’ensemble du projet, j’accepte ton offre cela nous permettra d’être plus proches encore l’une l’autre. Nous irons rapidement chez le notaire régler la partir administratives de notre association. Je t’aime, ma chérie.

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